vendredi 14 novembre 2008

Vigilance est mère de sureté

Petit jeu entre amis : amusez vous, à froid, à rechercher des signes qui auraient pu vous alerter si vous aviez du vous engager par cette porte.
Dans tous les cas, une attaque doit être coordonnée (pas d'attaque de l'extérieur si des binômes sont engagés) et une situation peut vite évoluer
=> vigilance individuelle et collective
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-Au passage- à quand la mise en place d'un code commun d'évacuation d'urgence?
Un code rouge (déclenchement de toutes les sirènes des véhicules) pour annoncer une évacuation suite à un risque imminent ne serait-il pas intéressant ?

Le baiser du diable

Hier soir, j'ai partagé une petite réflexion de mon ch'ti pote Alain autour d'un Cacolac sur le ressenti parfois inattendu des stagiaires au débriefing et donc l'impression de passer à côté de l'objectif.
Comment expliquer un :"Ben finalement, c'était pas si chaud que ça !"?

Notre discussion portait sur le fait que cela pourrait être le résultat d'un feu "trop" contrôlé par excès de notre part mais à mon avis, je ne pense pas. Cela correspond plus à une réflexion exprimant une grosse décharge de stress, après coup, un peu comme lorsque tu flippes avant de faire un grand huit de psychopathe ou un saut en tandem et que 5 grammes d'adré plus tard tu fais le cake, tout blanc, tout content de l'avoir fait et d'être encore là pour dire :"Allez, on y retourne ?" "Même pô peur !"

Effectivement nous montons moins haut en température que dans d'autres caissons, mais à 400°C les phénomènes sont bien là, on travaille en sécurité avec des stagiaires plus réceptifs (quand on subit on a du mal à ouvrir ses chakras ...) et avantage non négligeable quand on gère des budgets de fonctionnement, on a moins de casse. Beaucoup d'avantages en bref mais se poser des questions est le meilleur moyen d'avancer et la réflexion est grande ouverte.
Pour nous y aider voici une petite vidéo allemande qui donne envie ...
"Chef, quand est ce qu'on monte un mur en siporex ?" Je rigooole